Service déconcentré du ministère de la Culture placé sous l’autorité du préfet de région, la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) met en œuvre la politique culturelle de l’État en Île-de-France.

Ancrée sur un territoire francilien présentant de multiples facettes et des dynamiques fortes, la DRAC Île-de-France œuvre à rapprocher la culture de tous les habitants, dans les villes et dans les campagnes, en soutenant les artistes et professionnels de la culture, et en prenant soin du patrimoine dans sa diversité.

Banque mutualiste implantée dans tous les territoires, le Crédit Agricole soutient les dynamiques locales à travers des engagements solidaires, sociaux et culturels. Accompagnatrice de projets porteurs de sens, au service du développement collectif, la caisse locale du Crédit Agricole de Montreuil soutient la manifestation Mozin’arts.

Banque de proximité, le CIC accompagne les entrepreneur·e·s, les associations et les acteur·rice·s culturels à travers un engagement affirmé en faveur de la création contemporaine et de l’innovation sociale. Il apporte son soutient à la manifestation Mozin’Arts.

Créé en 2012, l’Atelier 20.12 réalise tous types de décors (vitrines, showroom, théâtre, design, mobilier etc…). En quelques mots, nos compétences : conception, étude, prototypage, fabrication, logistique, montage, stockage, accompagnement artistique. L’Atelier 20.12 se compose d’un bureau d’étude ainsi que d’ateliers de menuiserie, serrurerie, peinture cabine et décorative, sculpture de tous types (polystyrène, résine, …), moulage, impression 3D et d’un centre d’usinage numérique (fraisage, laser).

Fondée en 2006, le but de l’association est de créer et pérenniser un atelier dédié à plusieurs techniques de l’estampe: gravure en taille-douce, gravure sur bois et lino, sérigraphie, typographie, monotype, reliure, photogravure et alugraphie, cyanotypes, labo photo argentique, et techniques mixtes.

« Au-delà de sa réussite esthétique, une œuvre me paraît réussie dans sa capacité à générer de la descendance, pour moi, c’est le témoin de sa profondeur ». Diplômé de l’école Boulle en 1995, Erwan Boulloud acquiert un savoir-faire unique qu’il mettra au service de différents créateurs, puis dans la mise en espace de collections de grands musées tels le Louvre, le CNAM, ou le Musée d’Histoire Naturelle.

En 2003, Erwan ouvre son propre atelier à Paris puis à Pantin. Là, commence la création, avec en préambule, un travail sur la matière : métal, bois, béton, verre ; minérale ou végétale ; brute, brûlée ou polie, décortiquée, reconstituée ; il cherche à en révéler la profondeur. Chaque création représente l’instantané d’une histoire en cours d’évolution où le mouvement est inscrit et perceptible. Des œuvres se succèdent, créant lignes, bifurcations, croisements, disparitions et mutations. Ses créations sont réalisées en pièce unique ou en quelques exemplaires numérotés.

Basée en milieu rural, très exactement dans le Vexin (95), Arterritoires a pour objectif premier de rendre l’art contemporain accessible à tous. Tirages limités et expositions sous la forme de campagnes d’affichages – conçues pour être présentées en extérieurs sur des panneaux électoraux – sont proposés à des tarifs très abordables, et offrent à chacun et en particulier aux communes rurales et à leurs habitants la possibilité de découvrir le travail d’artistes contemporains, reconnus ou émergents, eux-même désireux dʼaller à la rencontre de nouveaux publics.

Arterritoires, dont le comité de sélection a retenu depuis son lancement en 2020 le travail de près de 80 artistes contemporains, français et internationaux, propose à ce jour près de 100 expositions avec un large choix de thèmes et de médiums (peinture, photographie, gravure, dessin, art numérique, sculpture…).

Depuis 30 ans, la société Carrafont crée des prototypes et des maquettes pour les plus grands noms du monde de la cosmétique, des parfums, des produits de luxe, de l’industrie et du design. Carrafont a construit sa réputation sur le professionnalisme, l’innovation et son savoir-faire à la pointe de la technologie. En 2014, la société a été élue Entreprise du Patrimoine Vivant.

Le CENTQUATRE-PARIS est un espace de résidences artistiques, de production et de diffusion d’art pour les publics et les artistes du monde entier. Pensé comme une plateforme collaborative, il donne accès à l’ensemble des arts actuels : spectacles, concerts, expositions, ateliers et rencontres se croisent au travers d’une programmation résolument populaire, contemporaine et exigeante.

La Maison de quartier Lounès Matoub, centre social municipal agréé par la Caisse d’Allocations Familiales est un lieu ressource du quartier. Pour les habitants, c’est un outil pour l’animation de la vie sociale et culturelle, pour l’accompagnement des projets individuels et collectifs et pour favoriser l’accès aux droits de tous. La Maison de quartier Lounès Matoub est une structure ouverte à tous où bénévoles et professionnels développent des projets d’animation pour répondre aux besoins des habitants.

Nous sommes ravi·es d’accueillir Aurélie Thuez, responsable du Centre Tignous d’Art Contemporain et du service des arts plastiques, Montreuil, au sein du comité artistique de Mozin’Arts.
Plusieurs actions sont menées en partenariat avec le CTAC : l’atelier « Mozinor, utopie et alchimie », destiné aux enfants de 7 à 12 ans, avec une restitution lors des journées Mozin’Arts ; les médiations culturelles pour les visites guidées ; ainsi qu’un soutien logistique à la régie.

Le Centre Tignous d’art contemporain s’affirme comme un espace de rencontres, d’échanges et de valorisation de la création contemporaine.
Ouvert à tous les publics et en accès libre, le centre propose des expositions, accueille des artistes en résidence, développe des projets hors les murs (notamment dans le 93), organise des événements et collabore régulièrement avec les structures culturelles du territoire. La médiation et l’éducation artistique sont au cœur de ses actions, avec l’intention de faire valoir les droits culturels de tous·te·s.

Chaque année, quatre à cinq expositions collectives sont organisées avec une attention particulière portée sur la création artistique actuelle et la mise en lumière des artistes locaux. Les expositions sont conçues par des commissaires invité·e·s et peuvent parfois s’inscrire dans le cadre de manifestations nationales et européennes (Nuit Blanche, Journées Européennes du Patrimoine…). Autour de chaque exposition, une programmation gratuite est conçue et proposée en collaboration avec nos équipes, les artistes et commissaires : visites commentées, rencontres avec les artistes, tables rondes, performances, ateliers artistiques…

Par le biais d’une résidence in situ axée sur la recherche et l’expérimentation artistique ancrée sur le territoire de la ville de Montreuil, le centre Tignous d’Art Contemporain soutient les formes artistiques novatrices. Cette résidence d’une durée de 6 mois vise à accompagner les artistes, notamment les jeunes artistes, dans le développement de leur travail, de les aider à la production de nouvelles œuvres et à leur diffusion. Cet espace de résidence est ouvert régulièrement au public en présence de l’artiste afin de permettre aux visiteurs de découvrir les étapes d’un travail Work in Progress et d’échanger avec l’artiste invité pour cerner le processus créatif en cours. Au terme des 6 mois de résidence, une exposition-restitution est notamment visible durant trois semaines au mois de juin et s’accompagne d’un objet éditorial qui retrace la démarche du projet et présente exposition-restitution proposée par l’artiste.

Communexpo a été créée en juin 2023 par des passionnés et des professionnels de la diffusion artistique, des passeurs qui s’attellent avec enthousiasme à créer du lien entre l’art et le vivant, entre les artistes et leur public. Son objectif est de promouvoir la culture, l’éducation, la solidarité et la création sous toutes ses formes. Elle appuie ses actions de médiation sur les expositions conçues par Arterritoires dont la particularité est le support : les panneaux électoraux, disponibles dans toutes les communes de France. Communexpo développe des projets ancrés sur les territoires ruraux en veillant à impliquer une variété d’acteurs locaux : associations, collectivités, écoles, foyers ruraux, maisons de retraite… pour proposer des actions adaptées aux besoins du territoire et de ses habitants (ateliers, résidences, rencontres avec les artistes, fiches pédagogiques,…). L’association est soutenue par la DRAC Ile de France, le Conseil départemental du Val d’Oise, la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise, ainsi que d’autre partenaires privés pour la réalisations de ses projets..

Le conservatoire à rayonnement départemental de Montreuil, créé en 1966, propose des activités de formation dans les domaines de la musique et de la danse. A l’occasion de sa réouverture à la rentrée 2024 après une phase de rénovation, il a adopté le nom de Pina Bausch, en hommage à cette danseuse et chorégraphe allemande, ambassadrice de la danse-théâtre.

Ses enseignements s’articulent autour d’un projet pédagogique développant des pratiques collectives mais également des formations plus individuelles et des concerts. L’équipe pédagogique a pour objectif de soutenir chaque usager, que ce soit dans un objectif ponctuel, amateur ou dans une direction préprofessionnelle.

Nous somme ravi·es d’accueillir Michel Poivert, au sein du comité artistique de l’édition Mozin’Arts 2025.
Michel Poivert est historien de la photographie, commissaire d’exposition, professeur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne et fondateur du Collège International de Photographie, Paris, France.

Le collège International de Photographie a le but de créer ex nihilo une institution entièrement dédiée à la conservation, l’expérimentation et la transmission de métier d’art photographique (tirage, impression). Construit à partir de la prise de conscience de la nécessité de sauvegarder des savoir-faire abandonnés de l’industrie de l’image, mais particulièrement prisés par la création artistique contemporaine, le projet du CIPGP a le souci de transmettre le patrimoine culturel immatériel photographique. Il montre une volonté de constituer un centre de formation et d’expérimentation, reliant histoire et prospective dans le monde des savoir-faire d’excellence de l’image : un conservatoire de la photographie pour transmettre des métiers, du laboratoire à l’atelier d’impression, et répondre aux besoins contemporains de se reconnecter à la matière et aux gestes de création. Le projet du CIPGP est pensé dans l’intérêt général et touche aussi bien les secteurs des métiers d’art de la création contemporaine et de l’éducation des publics. Il est accompagné depuis 2018 par un collège de fondateur et d’experts regroupant les acteurs publics et privés du domaine, et est soutenu par des financements également publics et privés. Soucieux de transmettre les connaissances pratiques permettant de pérenniser l’excellence d’un métier d’art, le conservatoire formera des artisans, des enseignants et des professionnels comme des amateurs. L’horizon culturel de ses savoir-faire ouvre à nombre d’activités dans les domaines éducatifs et artistiques comme commerciaux. Complément de formation aux écoles et aux professions de l’image, le conservatoire comme centre de formation proposera une offre technologique inédite grâce à son corps de sachant recrutés au plus haut niveau. Proche des artistes photographes les plus contemporains, le projet du CIPGP se propose de répondre aux besoins de la création actuelle en demande d’interaction entre tradition et expérimentation, en mettant à leur disposition un laboratoire de recherche en art doté des instruments de recherche reliant les technologies de pointe dans le domaine de l’image tangible et les procédés alternatifs croisant ainsi culture scientifique et artistique. L’esprit de la recherche est orienté depuis ses premières bourses en 2018 vers une conception écoresponsable de la production des images contemporaines. Soucieux de transmission aux publics des plus larges dans le respect des valeurs démocratiques prônées lors de l’invention de la photographie, le CIPGP propose une université libre et inclusive pour diffuser la culture photographique. Ces enseignements encouragent à se reconnecter autrement aux images, par le biais du travail de la main et de la connaissance de la matière.

Fondé en 1998, Crash Magazine est une revue indépendante dédiée à la mode, l’art, le cinéma et la culture contemporaine. Connue pour son regard audacieux et avant-gardiste, elle met en lumière des créateurs·rices, artistes et penseur·ses émergent·es autant que confirmé·es, en donnant une place centrale à l’expérimentation et à la liberté de ton.

Enzyme est un bureau d’étude complet (ingénierie, CAO, calculs) et un atelier (usinage, impression 3D, métallerie, assemblage, finition) intimement liés, installés dans les vastes locaux de Mozinor, cité industrielle verticale située à Montreuil et unique en France.

Est Ensemble est un établissement public territorial qui regroupe neuf communes de l’Est parisien, dont Montreuil. Acteur majeur du développement local, il œuvre pour renforcer l’attractivité du territoire en soutenant la culture, l’éducation, la transition écologique, l’économie et la solidarité.

Particulièrement engagé dans le domaine artistique et culturel, Est Ensemble accompagne les initiatives qui favorisent l’accès de tou·te·s à la création, la valorisation du patrimoine et le dynamisme associatif.

EXPLOREPARIS.COM est un Groupement d’Intérêt Economique (GIE) créé à l’initiative des agences départementales du tourisme du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis qui a pour objet la mise en commun de moyens et de compétences pour l’exploitation de la boutique en ligne exploreparis.com.

Birgit Sattlecker, artiste, co-curatrice de la galerie Fotohof et co-directrice des éditions Fotohof, est membre active de l’équipe Fotohof depuis plus de trente ans. Nous avons le plaisir de l’accueillir au sein du comité artistique de Mozin’Arts 2025 et la remercions vivement pour l’expertise qu’elle met au service de la conception et de l’accompagnement des installations sur les toits panoramiques de Mozinor.

Depuis sa création en 1981, le FOTOHOF est un centre de la photographie artistique à Salzbourg, avec de nombreuses activités en Autriche et à l’étranger. Outre les expositions dans la galerie de Lehen, le programme du FOTOHOF comprend l’une des bibliothèques spécialisées en photographie les plus complètes d’Autriche, une maison d’édition internationale d’albums photo, des archives de photographies historiques et contemporaines, des expositions itinérantes internationales, ainsi qu’une large gamme d’activités pédagogiques avec des ateliers et des débats.

Né en pleine crise sanitaire, Label Gamelle est bien plus qu’une cuisine centrale : c’est une aventure humaine et solidaire. Fondée en 2020 à Montreuil et basée à Mozinor, cette Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) allie gastronomie et engagement social autour d’une idée simple mais essentielle : « Ce n’est pas parce qu’on est pauvre qu’on doit mal manger ! »

Portée par Vincent Dautry, chef passé par de grandes maisons étoilées, et Christine Merckelbagh, ancienne directrice de back office reconvertie à la cuisine et au social, Label Gamelle poursuit un double objectif : restaurer et insérer. L’équipe prépare des repas pour des centres d’hébergement d’urgence, des foyers de l’aide sociale à l’enfance ou encore des étudiant·es en situation de précarité, tout en embauchant prioritairement des personnes issues de ces structures. Ce véritable circuit court de la solidarité redonne sens et dignité au travail, en mêlant qualité culinaire et insertion professionnelle.

Label Gamelle, c’est aussi une coopérative où les salarié·es prennent la parole et trouvent une place. L’exposition photographique réalisée avec Sophie Loubaton en témoigne : 35 diptyques qui racontent des parcours, des visages, des histoires de vie, dans un esprit profondément humain et collectif.

Les Instants Chavirés sont depuis 1991 un lieu de diffusion pensé comme un laboratoire des musiques improvisées, expérimentales, bruitistes. Son annexe, l’ancienne brasserie Bouchoule, propose un autre regard autour des arts visuels et sonores. Deux lieux pour un même partage d’une certaine création contemporaine.

Spécialisée dans les domaines des traitements de surface mécaniques (polissage), chimiques (patines) et électrochimiques (galvanoplastie) depuis 1946, la société PARANT MICHAUX FILTRIN, forte de son expérience, est à même de répondre à l’ensemble des demandes liées à ces applications très spécifiques.

Leurs activités sont très diversifiées (monde de l’art, bijouterie, rénovation, bâtiment, automobile, aéronautique, robinetterie, instruments de musique…). Chaque pièce métallique devant subir, avant son utilisation finale, un ou des traitement(s) mentionné(s) précédemment.

Leur souplesse leur permet de livrer en tout type de conditionnement ; leur expérience leur permet d’apporter toutes les réponses aux interrogations de leurs clients et de les conseiller au meilleur de leurs intérêts.

La Pâtisserie Chapel est née en 2021 de la passion de Max et Charles Carré.

D’abord installés dans une boutique du 11ᵉ arrondissement de Paris, les deux frères font aujourd’hui vivre leur univers gourmand à travers divers projets créatifs sous le même nom.

Pour Mozinarts 2025, ils vous accueillent sur leur stand avec un choix de crêpes préparées à la minute et une sélection de délicieux gâteaux.

@chapel.paris

L’imprimerie PPA (Groupe PPA-ESPRINT) accompagne depuis 30 ans les plus grandes maisons de luxe et les grandes marques de cosmétiques. À la fois agence de communication, bureau d’expertise, photograveur et imprimerie, l’imprimerie PPA offre un accompagnement complet dans la gestion de tous les projets. Le groupe est aussi l’imprimerie la plus performante d’Europe qui allie la culture de la qualité à des prix très compétitifs et au respect de l’environnement (certifications FSC, PEFC et Imprim’vert).

Prestimage met à profit son expertise et son savoir-faire pour réaliser des impressions d’images spécifiques créées par des artistes, destinées à être installées sur le site de Mozinor pendant les journées Mozin’Arts.

Depuis plus de 40 ans, Prestimage est la référence en matière d’impressions numériques grand format. Leurs équipements leur permettent d’imprimer sur presque tous les supports du marché et de vous accompagner dans tous vos projets. Leurs clients prestigieux font confiance à cette équipe de passionnés qui interviennent dans plusieurs domaines : signalétique, décoration et agencement d’espace, PLV et événementiel. La société dispose d’un parc de machines à la pointe de la technologie, installé sur un plateau de 1 000 m² avec une hauteur sous plafond de 6 mètres, un parking et un quai de chargement privatif. Prestimage, c’est aussi une culture de l’image, de la réactivité et du conseil.

n.f – latin résonantia : écho

1. Augmentation de l’amplitude d’oscillation d’un système physique lorsque celui-ci est excité au voisinage de l’une de ses fréquences propres.

2. Ce qui provoque une réponse chez quelqu’un, qui l’émeut.

L’association Résonance, créée en 2003, est un outil, un soutien, un support au service des artistes et des créateurs de sens. Résonance a pour objet l’accompagnement de projets artistiques qui doivent être accompagnés d’une dimension durable, écologique, sociale ou engagée. Résonance soutient les artistes et les producteurs artistiques et accompagne, déploie, amplifie le projet d’engagement de l’artiste.

Depuis le 9 octobre 2023, Résonance est reconnue d’intérêt général.

– De Janvier 2023 à Septembre 2025, Résonance a mis un place en parallèle du film documentaire  de Thomas Ellis Tout va bien un programme pour aider les lycées professionnels à trouver des stages et des apprentissages. 528 Lycées ont participé à ce projet sur le territoire français.

La Ressourcerie du Cinéma sauve les décors de cinéma de la déchetterie et les propose au réemploi, à la location et à la vente.

À Montreuil, dans le cadre du consortium des Manufactures de Proximité, la Ressourcerie du Cinéma, le Fablab La Verrière, et Make Ici s’associent pour développer une filière de production urbaine artisanale en utilisant le réemploi comme levier de la transition écologique.

À l’occasion des journées Mozin’Arts, la Ressourcerie du Cinéma soutient la réalisation des œuvres créées sur le site de Mozinor en mettant à disposition des éléments de décors et différents matériaux.

Royal Book Lodge regroupe les projets éditoriaux en dialogue avec les artistes et auteurs tel·les que Raisa Aid, Kai Althoff, Abel Auer, André Butzer, Véronique Bourgoin, Gregory Cadars, matali crasset, Sara Glaxia, Gudny Gudmundsdottir, Beate Gunther, Grems, Popline Fichot, Tobias Hauser, Andy Hope 1930, Daniel Johnston, Dorota Jurczak, Jean-Louis Leibovitch, Anne Lefebvre, Birgit Megerle, Jonathan Meese, Roberto Ohrt, Oskar -Von-Miller Str. 16, Anna Parkina, Raymond Pettibon, Jason Rhoades, Julia Rublow, Ralph Rumney, Gianfranco Sanguinetti, Dmitri Susin, Jeanne Susin, Lucia Sotnikova, Angel Yegros, et d’autres…

Ce réseaux éditorial sous des différents noms et label a été initié dans des années 90 par Juli Susin et Véronique Bourgoin. A partir du début des années 2000, les éditions sont dirigées par Juli Susin sous le nom de Silverbridge, avec le soutien de Yasha Gofman et en collaboration avec Roberto Ohrt (de 2000 à 2007), ensuite sous le nom de Royal Book Lodge, toujours en collaboration avec Véronique Bourgoin. 

En 2023 le livre de recherche de l’historien de l’art John C.Welchman « Royal Book Lodge » est publié aux éditions Hatje Cantz. Ce livre, présente la première étude approfondie de plus de 30 ans de l’activité collaborative réunie sous le nom de Royal Book Lodge. Il examine l’histoire et le contexte de ses diverses pratiques artistiques qui croisent différents médiums tels que la photographie, la céramique, le film, la peinture, la sculpture et les installations, ayant comme centre névralgique le livre d’artiste, ainsi qu’un important édifice d’œuvres et d’archives. En 13 chapitres, et 410 illustrations, l’ouvrage explore les diverses géographies culturelles et politiques de Royal Book Lodge, notamment dans la banlieue parisienne de Montreuil, Berlin, l’Europe de L’Est, Los Angeles, le Paraguay, l’Islande, l’Italie, etc., ainsi que dans les récits d’émigration et de voyages de ses protagonistes, à la lisière entre les époques. Il aborde les questions liées aux constructions de la fiction, de l’autobiographie ; la relation de Royal Book Lodge avec certaines figures des avant-gardes historiques ; les notions du contrôle à distance, l’archéologie de la violence et du potentiel de l’art comme ”trousse de secours”.

Créé en 1976, Soprintex fut le premier fabricant français d’étiquettes adhésives en planches pour imprimante bureautique laser ou jet d’encre.
Cette longue expérience leur donne un savoir faire unique permettant de satisfaire de nombreux clients de secteurs diversifiés allant de l’industrie au marketing, dans le domaine pharmaceutique, automobile ou agroalimentaire, de la PME artisanale à la firme multinationale.

Depuis, son activité s’est diversifiée au fil des années en proposant des étiquettes en rouleaux, en paravents avec ou sans impression et sur tous types de support.

MENARD est une marque fondée en 2023 par Alioune Menard, née d’une volonté de créer un vestiaire à la fois intemporel et ancré dans son époque. L’univers de la marque puise ses inspirations dans le dialogue entre deux mondes : l’architecture ancienne, avec ses lignes majestueuses, ses détails ornementaux et son savoir-faire artisanal, et l’architecture moderne, minimaliste, audacieuse et tournée vers l’innovation.

Ce contraste, loin d’être une opposition, devient un langage esthétique propre à MENARD : des silhouettes épurées relevées de détails complexes, des matières nobles travaillées avec des techniques contemporaines, et une recherche constante d’équilibre entre tradition et modernité. Chaque pièce est pensée comme une structure, un édifice textile, où chaque couture et chaque coupe raconte une histoire.

L’architecture inspire non seulement les formes et les volumes, mais aussi la philosophie créative de la marque : bâtir un vestiaire durable, cohérent et porteur de sens, qui traverse les tendances sans perdre de sa force visuelle et émotionnelle. Chez MENARD, s’habiller devient un acte de style, mais aussi une manière d’habiter le monde avec élégance et conscience collective.

Le Théâtre Municipal Berthelot Jean-Guerrin revendique une programmation pluridisciplinaire destinée à tous les publics : théâtre, danse, jeune public, concerts, projections, performances, conférences, avec l’ambition de s’ouvrir à de nouvelles esthétiques. Ce théâtre municipal, s’affirmant en tant qu’infrastructure d’accueil et de soutien à la création théâtrale « d’aujourd’hui »,  s’envisage comme un lieu de découverte, d’accompagnement à la création favorisant l’émergence artistique, un lieu de soutien à la diffusion et qui permet une rencontre entre les pratiques amateurs et professionnelles. Le théâtre Berthelot est aussi un plateau pour la danse (contemporaine, culture urbaine…). Il est également un lieu pour le jeune public (Festival Marmoe, Mois de la petite enfance, Contes en stock, séances scolaires et tous publics) et se veut globalement être un théâtre public de proximité favorisant l’accessibilité à tous les publics.
Le théâtre développe des partenariats avec d’autres services municipaux ou intercommunaux, des structures culturelles (les bibliothèques de Montreuil, la Maison Populaire, les Instants chavirés, Espace Comme Vous Emoi, Le cinéma Le Méliès, le Nouveau Théâtre de Montreuil, entre autres), des collectifs d’artistes. Nous travaillons ensemble pour la mise en œuvre d’un nouveau projet, ouvert, s’appuyant sur une inventivité partagée, prolongeant ainsi une des caractéristiques artistiques de Montreuil en phase avec la création de son temps et dans une inventivité renouvelée.

Verre aux éclats est un collectif de 10 artistes qui conçoit et réalise des vitraux en dalle de verre présentés comme des tableaux avec un éclairage naturel ou artificiel ou directement insérés dans des murs extérieurs de bâtiment. La technique consiste à tailler et à éclater des dalles de verre de 3 cm d’épaisseur, puis à les insérer dans un réseau de ciment ou de résine époxy. Cet art a été inventé dans les années 1930 par Jean Gaudin.
Les dalles de verre colorées dans la masse sont fabriquées par une famille d’artisans (société Albertini), spécialisée dans l’art du verre depuis 4 générations avec plus de 1500 coloris répertoriés.